Une journée comme celle de la veille

Transfert



Transfert fait une pause avant de revenir le 4 juillet 2024. En attendant, nous vous proposons d’écouter cet épisode qui vous a fait tant réagir lors de sa première diffusion. C’est un de vos préférés, et pour tout vous dire c’est aussi l’un des nôtres. Bonne écoute !Il est de ces journées qui commencent comme celle de la veille, mais après lesquelles rien ne sera jamais plus comme avant. À cause d'un instant, parfois imperceptible, où tout bascule. Sur le moment, on n'y prête pas forcément attention. Parce que le signal est trop faible ou parce qu'on refuse, consciemment ou non, de le voir. Et puis, quand on ne peut plus ni reculer ni refuser la situation, on l'embrasse. Tant bien que mal.Muriel a tout fait pour que la normalité persiste dans sa vie, dans sa famille. Elle s'est battue pour vivre, danser, chanter... Sans jamais douter de l'issue de son combat.Attention, cet épisode aborde des sujets sensibles. Ceux-ci sont précisés à la fin de ce texte.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Transfert). Cet épisode de Transfert a été produit et réalisé par Slate.fr, sous la direction de Christophe Carron, Benjamin Saeptem Hours et Sarah Koskievic avec Aurélie Rodrigues. La musique a été composée par Arnaud DenzlerLes sujets sensibles abordés par cet épisode sont: enfant malade, cancer, décès.